Essais transformé pour les organisateurs.
Temps magnifique, ambiance conviviale, sportifs affutés...
2 équipes du club au départ.
Adrénaline, la tenante du titre composée de Cyril, Patrice et Philippe.
Azimut 44 la revancharde composée de Christian en remplacement de Frédéric blessé, Romuald et Jérôme.
Le principe était le même que l'année dernière.
Un relai course à pied pour diluer le troupeau (sans VTT). Les ambitions sont claires pour Adrénaline, il faut conserver le titre. Patrice premier relayeur parcourt les 200 premiers mètres seul en tête. Il passera le relais à la fin de la boucle de 1km en 6ème position. Il a bluffé tout le monde, Christian le premier qui est arrivé derrière lui.
Adrénaline commence par le VTT alors que Azimut 44 par sur une CO de 10 km avec 10 balises à ramasser. A la première balise, 2 équipes sont juste devant nous. Pour aller sur la 2ème balise, après le virage sur la route, Jérôme s’engage directement dans le bois en tirant un azimut direct. L’option est payante, nous sommes les premiers sur la balise 2 et nous croisons les autres équipes sur le chemin du retour. C’est bon l’orienteur est dans la carte. La motivation est grande, nous sommes devant par rapport à ceux qui ont commencés par la même activité. On enchaine 3-4-5 et 6 je veux dire 9 et 10. Hé oui la boulette, un 9 à l’envers c’est un 6. Grand moment de solitude pour Jérôme, il à oublié 3 balises. Je passe les détails sur les mauvaises excuses et prétexte en tout genre, il faut de toute façon réagir vite. On repart chercher les 3 balises manquantes. Si sur la première partie, avec l’avance que nous avions, nous n’avons rencontré personne, ce ne fut pas la même chose sur la seconde. Nous avons croisé de nombreuses équipes. Le moral en prend un coup.
Nous arrivons sur le stand de tir à l’arc (coucou Michel Grenouille et Gwenaël) petite attente qui sera décompté. Visiblement nous sommes en 3-4ème position. Les Robins des Bois (Christian et Romuald) sont au top, toutes les flèches dans la cible, ce sera du bonus pour l’arrivée. Même chose pour les archers d’Adrénaline.
On enchaine avec le VTT. Départ direct dans la cote sur le bitume, puis à travers champs. Les jambes sont lourdes après la CAP. On double une première équipe qui a un problème mécanique, dérailleur cassé. La consigne sur cette partie c’est d’être vigilant sur les balises, ne pas les manquer comme l’année dernière. Il y en a 4. Une distance de 22km est annoncée. On ne roule pas trop mal, avec l’avantage de connaître le terrain par cœur. Ho les petits coquins les organisateurs, ils nous font passer partout ou il y a des bosses (la cote bitumée de St Fiacre est un exemple). Une équipe nous dépasse dans une cote dans les vignes. On essaye de les accrocher, trop fort pour nous, nous ne les reverrons plus sur le VTT. Romuald poinçonne les balises. Il n’en reste plus qu’une. Les consignes lors du briefing, nous précisait que la 4ème était proche de la première CO. Nous arrivons sur le secteur. On ralenti, vigilance, pas de balise on roule encore quelques centaines de mètres. Les mauvais souvenirs resurgissent. Demi-tour Pour Christian et Romuald, nous l’avons raté. Jérôme part devant vérifier. Pas de balise. Rencontre avec une équipe sur la CO qui a déjà fait le VTT, la balise est plus loin. Merci pour l’information. Nous sommes au dessus des falaises de Caffino, c’est roulant. Voilà la 4ème balise VTT. Petite descente accidentée, prudence. Pépère fait un tout droit dans les ronces, le bronzage va encore souffrir. On arrive au canoë après 27 km et 400m de dénivelé positif Ouf. Pas d’information de la part de Frédéric sur notre position, on pense qu’il c’est endormi au soleil. Mise à l’eau du canoë, limite que les bonshommes ne suivent pas. Christian devant, Romuald au milieu et Jérôme à l’arrière. Pagaie double à l’avant. Il faut trouver la cadence et la coordination. C’est bon. A non Christian à trop mal au dos. On inverse Romuald prend la pagaie double. Plus difficile, il doit pagayer 2 fois plus rapidement qu’avec la pagaie simple. Christian a un rythme trop rapide, les pagaies s’entrechocs. Romuald doit trop se déhancher pour plonger la pagaie dans l’eau. Ce n’est pas grave, on change à nouveau. Jérôme prend la pagaie double à l’arrière. Plus de place pour éviter les chocs et plus facile pour plonger la pagaie. La difficulté réside dans le guidage du canoë. Pas de problème on maitrise. Le rythme est bon. Personne en vue.
Voila une équipe qui arrive dans l’autre sens, ce sont ceux qui nous ont doublés en vélo. Leur avance est considérable, pas d’espoir d’aller les chercher. On croise une seconde. Cette équipe n’en est qu’à sa 2ème épreuve. Nous arrivons à la pile du pont, balise à pointer. Demi-tour, personne en vue. Nous sommes donc 2ème par rapport à ceux qui sont partis sur le même ordre d’épreuve que nous. Il ne faut pas trop se réjouir, comment sont les équipes partis sur les autres activités. Nous arrivons à la rampe de Cafffino. La famille est là pour nous supporter. Descente impeccable, pas de chavirage.
Ce n’est pas terminé, il reste l’épreuve de la tyrolienne. Romuald s’affaire à la tache. Personne pour le baudrier ? Chrono tourne toujours. Probablement 2 minutes et 1 seconde de perdu à attendre l’organisation pour fournir le baudrier. Pas de chance, sac de nœuds. Romuald s’attaque à la traversé de la rivière sur le pont flottant, coulant aurait été plus approprié. Plongeon, avec une belle figure (pas de notation, dommage) fin de traversée à 4 pattes sur les palettes avec de l’eau jusqu’aux oreilles. Petite attente à la tyrolienne (le temps sera lui décompté). Romuald s’engage sur le petit parcours de via ferrata. Tyrolienne, petit cri de l’ancien footballeur américain. Vite on repart en courant franchir la ligne d’arrivée en 6ème position. Tient surprise Adrénaline est déjà arrivée. Hé non ce n’est pas une surprise, c’est normal on est plus fort, on vous attend depuis 10 minutes !!
Il faudra attendre les décomptes des organisateurs pour connaître le classement final.
En 4ème position Adrénaline, en 5ème position Azimut 44 avec 2 minutes de retard (tient il ne manquerait pas 2 minutes et 1 seconde de décompte avec le baudrier) Mauvais perdant que je suis.
Votre rédacteur Jérôme